Algues vertes : Silence, on tue – Tribune de l’UDB Jeunes
Il y a quelque chose de pourri dans le royaume de France. Une odeur d’œuf périmé, qui s’échappe des amas d’algues vertes en décomposition sur les plages bretonnes. Sans remonter jusqu’aux narines des préfets, des lobbys productivistes et des scientifiques corrompus, bien au sec dans leurs bureaux. Le crime est parfait, le lien de cause à effet entre nitrates de l’agriculture intensive et algues vertes – établi par l’Ifremer depuis 1988 – soigneusement remisé au fond d’un tiroir parisien.