L’Union Démocratique Bretonne (UDB) est un parti politique autonomiste, de gauche et écologiste présent en Bretagne, Loire-Atlantique incluse, mais aussi dans le reste de la France par le biais de la fédération de partis politiques autonomistes et régionalistes Régions et Peuples Solidaires. L'UDB revendique un statut d'autonomie pour la Bretagne dans le cadre de l'Etat français et donc un fédéralisme différencié mettant fin à la centralisation française actuelle. L'UDB, par ses militants et ses élus agit pour une société plaçant l'économie au service de l'humain et milite pour la transition écologique. Pro européenne, l'UDB revendique une Europe fédérale s'appuyant sur les régions.

 

https://www.udb.bzh/


Actualité de l'UDB

Résidences secondaires : les chiffres de l’Insee confirment la pertinence des propositions de l’UDB

L’Insee a étudié le profil des détenteurs de résidences secondaires en Bretagne grâce à de nouvelles données. Celles-ci ont permis de définir qu’environ la moitié des résidents secondaires de la Région Bretagne vivent en Bretagne (Loire-Atlantique incluse).

 

Ces données confirment l’intérêt d’un statut de résident principal par pays ou par communauté de communes, tel que le propose l’UDB, plutôt qu’à l’échelle de la Bretagne entière. En effet un statut de résident régional ne réduirait probablement que de la moitié les achats de résidences secondaires. Instaurer la condition d’un an de vie sur le territoire pour acheter un logement, à l’échelle des pays, permettrait en revanche de réduire beaucoup plus fortement les achats de résidences secondaires.

Encadrer les résidences secondaires, comme l’UDB le propose à travers le statut de résident principal, c’est vouloir donner une priorité à l’achat pour celles et ceux qui font vivre un territoire à l’année, peu importe leur origine.

 

Les données de l’INSEE nous montrent aussi que les propriétaires les plus aisés possèdent surtout les résidences secondaires du littoral… là où elles sont les plus nombreuses. On voit là qu’un projet de taxation progressive et ciblée sur les zones les plus tendues serait aussi une taxation juste, qui toucherait moins les propriétaires plus modestes.

 

Pierre-Emmanuel Marais, porte-parole de l’Union démocratique bretonne

L’Alsace lance une consultation pour définir son modèle de régionalisation

L’Alsace lance une « grande consultation citoyenne » pour un modèle original de régionalisation : une expérience qui devrait inspirer la Bretagne.

 

En janvier 2023, la Collectivité européenne d’Alsace, issue de la fusion des anciens conseils départementaux du Bas-Rhin et du Haut-Rhin, avait organisé une consultation citoyenne sur la question de la reconstitution d’une Région Alsace à part entière. Cette consultation avait pris trois formes : un vote dans les urnes, mais aussi par courrier et par voie électronique. 168 456 personnes avaient participé à cette consultation, une mobilisation exceptionnelle à cette échelle territoriale, et 92 % avaient répondu Oui à la question posée, à savoir : « L’Alsace doit-elle sortir du Grand-Est pour redevenir une Région à part entière ? »

 https://www.alsace.eu/actualites/grande-consultation-citoyenne-resultats/

 

Forte d’une mobilisation citoyenne probante, l’assemblée de la Collectivité européenne d’Alsace a décidé de réitérer cette expérience de démocratie directe en questionnant les Alsaciennes et les Alsaciens, entre le 13 avril et 15 juillet, sur les pouvoirs qu’il conviendrait d’attribuer à une Région Alsace renouvelée :

https://www.alsace.eu/actualites/construisons-ensemble-l-alsace-demain/

 

Le choix du moment ne doit rien au hasard car le Président de la République a fait connaître, à plusieurs reprises et notamment le 13 mars à l’Élysée devant les représentants des associations de collectivités, son intention de déposer un projet de réforme de la Constitution à l’automne 2023 et un projet de loi de décentralisation qui s’y rapporterait. Il n’est pas anodin de signaler que le président de la Collectivité européenne d’Alsace (CEA), Frédéric Bierry, adhérent à LR, ne cache pas une certaine proximité avec le Président de la République.

 

L’UDB rappelle que ses représentants au Conseil régional de Bretagne, qui composent le groupe Breizh a-gleiz avec leurs collègues d’Ensemble Sur Nos Territoires, sont à l’origine du vœu adopté le 8 avril 2022, par 75 membres du Conseil régional sur 83, en faveur d’une autonomie législative, réglementaire et fiscale pour une Bretagne réunifiée. Depuis ce vote, l’UDB et ses élus n’ont eu de cesse de réclamer l’organisation d’un grand débat public avec les Bretonnes et les Bretons pour définir avec eux le contenu précis de cette autonomie. L’initiative des élus alsaciens montre clairement la voie à suivre. Nous attendons de Loïg Chesnais-Girard, président du Conseil régional de Bretagne, qu’il adopte une attitude pro-active. L’UDB, pour sa part, ira au contact des Bretonnes et des Bretons, d’ici quelques semaines, pour recueillir leurs attentes.

 

Lydie Massard, porte-parole de l’Union démocratique bretonne

Retraites : le 49.3 est un déni de démocratie qui impose une mobilisation populaire

L’épilogue du jeudi 16 mars est le résultat du triste spectacle auquel nous assistons depuis 50 jours. La responsabilité en incombe au président Emmanuel Macron et au Gouvernement qui a limité le temps de débat en utilisant l’article 47.1, puis le 46.3 au Sénat et enfin le 49.3 à l’Assemblée Nationale, malgré une très large opposition des Françaises et des Français. Nous dénonçons fortement aussi le dédain du Président vis-à-vis des corps intermédiaires et particulièrement les syndicats qu’il a refusé de recevoir.

 

L’UDB renouvelle son soutien à l’intersyndicale qui a mené ce combat social justifié de manière responsable et efficace depuis début janvier. Les syndicats sont les seuls légitimes et capables de rassembler. Les organisations politiques ou autres qui se reconnaissent dans ce combat social doivent admettre la légitimité de l’intersyndicale et agir en conséquence. 

Le coup de force de ce jeudi 16 mars est surtout un coup de butoir porté à la démocratie sociale et marque l’épuisement d’un régime qui ne fonctionne plus : la Ve République. L’UDB porte depuis longtemps des solutions démocratiques pour mettre un terme au centralisme de cette République, héritage des régimes monarchiques antérieurs. Ces solutions démocratiques sont une Assemblée Nationale élue à la proportionnelle, un renforcement des corps intermédiaires, la fin de l’État centralisé au profit de l’autonomie des territoires, la transformation du Sénat en assemblée des régions, élue elle aussi au suffrage universel direct. Il y a urgence à traduire ces réformes démocratiques dans les institutions avant qu’il ne soit trop tard.

 

Nous appelons à soutenir massivement et à participer aux prochaines actions de l’intersyndicale, en particulier la journée nationale de mobilisation du jeudi 23 mars.

 

Lydie Massard et Pierre-Emmanuel Marais-Jegat, portes-parole de l’Union démocratique bretonne 

Réforme des retraites : l’UDB appelle à manifester le 19 janvier !

Élisabeth Borne vient de proposer son projet de réforme des retraites. Pour l’UDB qui défend la réduction et le partage du temps de travail, il s’agit ni plus ni moins d’un projet de régression sociale dans lequel tout le monde est perdant, particulièrement celles et ceux qui ont des métiers pénibles. Certes, des aménagements sont prévus pour eux, mais il n’en reste pas moins qu’ils devront travailler plus longtemps, comme tout le monde ! Les maigres avancées syndicales de ces dernières années sont donc réduites à néant ou presque.

Cette réforme s’effectue dogmatiquement et ne prend absolument pas en compte la réalité de la société d’aujourd’hui où la moitié des personnes en fin de carrière est au chômage. Plutôt que de s’interroger sur les raisons, le gouvernement s’attaque en parallèle au système d’assurance chômage. Or, en 2022, 25 % des plus pauvres étaient déjà morts à l’âge de 62 ans. Repousser l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans d’ici 2030 à raison d’un trimestre de plus par an dès septembre, montre que cette réforme n’a rien de « juste » puisqu’elle pénalise une fois encore les plus précaires.

 

L’UDB dénonce le refus catégorique du gouvernement de faire contribuer davantage les revenus financiers au financement du système de retraite. Depuis les années 80, la part des revenus du travail (ou revenus d’activité) dans la répartition des richesses produites a fortement reculé au profit des revenus du capital, partout dans le monde. En France, ce mouvement de bascule au profit des revenus du capital, qui s’était stabilisé au début des années 2010, a repris depuis quelques années en raison de choix fiscaux. De même, si le gouvernement promet une retraite minimum à 1200 € (à condition d’être à taux plein), il n’évoque pas la possibilité d’une réduction du plafond des retraites.

 

Il est clair que la réforme ambitionne surtout des départs anticipés et donc une baisse des niveaux de pension avec les décotes. Avec 43 années de cotisation et des débuts de carrière plus tardifs, l’obtention d’une retraite à taux plein s’éloigne pour de nombreux actifs.

 

Le seul lot de consolation pour l’UDB est le maintien du système par répartition, bien plus juste que le système à points qui aurait donné un pouvoir exorbitant au gouvernement qui en fixerait le taux. Pour le reste, on ne peut espérer rééquilibrer le système de retraites en réduisant les cotisations sociales et patronales ! Or, c’est le jeu favori des néolibéraux au pouvoir depuis bien trop d’années. Plutôt que de libéraliser le marché de l’emploi en remplaçant des salariés/employés par des autoentrepreneurs cotisant peu, le gouvernement devrait au contraire s’assurer que tout le monde paye des cotisations car c’est cela la solidarité. Là encore, proportionnellement, il est évident que les plus modestes cotisent plus que les plus riches. C’est d’autant plus important de rappeler cette réalité en Bretagne où se concentrent énormément d’emplois non-qualifiés, notamment dans l’agroalimentaire.

 

Pour toutes ces raisons, l’UDB appelle à se joindre aux manifestations syndicales en Bretagne le 19 janvier.

 

Pierre-Emmanuel Marais-Jegat, porte-parole de l’Union démocratique bretonne

La Poste : nouvelle dégradation inacceptable

Après la disparition du timbre rouge, la Poste vient d’annoncer la fin des tournées quotidiennes des facteurs. Cette mesure entraînera une dégradation du service postal et de nouvelles inégalités notamment la quasi-disparition du lien social que représentent les tournées des facteurs en milieu rural. 

 

Depuis plusieurs années l’UDB se bat pour un maintien des services postaux et contre les fermetures des bureaux de Poste, mais constate que l’État et l’Association des maires de France accompagnent sans broncher la disparition progressive des missions de service publics confiées à la Poste. Une réaction s’impose !

Lydie Massard et Pierre-Emmanuel Marais, porte-paroles de l’Union démocratique bretonne

Changement à la tête de l’ARS Bretagne : changeons de système !

Nous avons appris par la presse régionale que le directeur de l’Agence Régionale de Santé Bretagne, Stéphane Mulliez, quittait ses fonctions. Il va rejoindre l’Inspection générale des affaires sociales, selon un arrêté paru le 18 décembre au Journal officiel. Il dirigeait l’institution depuis 2019. L’ARS a pour mission de mettre en œuvre la politique de santé sur le territoire. C’est cette agence qui décide par exemple des fermetures ou non de services dans les hôpitaux.

 

Pour nous c’est l’occasion de rappeler que le système des ARS ne fonctionne pas et n’est pas légitime. La personne en charge de cette politique est un administrateur qui n’a pas de compte à rendre à la population et aux élus locaux. Une personne qui peut être débarquée du jour au lendemain. Elle met en place une politique de santé qui est décidé à Paris, et ne fait qu’en appliquer les grandes lignes sur son territoire.

L’Union démocratique bretonne rappelle sa volonté de voir la mise en œuvre d’une politique de santé décentralisée et non déconcentrée, dans le cadre d’une Bretagne réunifiée. Cela suppose que l’ARS devienne une administration pilotée par le conseil régional, et que les représentants des usagers puissent participer comme des acteurs à part entière à la gestion des hôpitaux publics.

 

Pierre-Emmanuel Marais, porte-parole de l’Union démocratique bretonne

L’UDB a besoin de vous : rejoignez-nous !

Découvrez ci-dessous les nouvelles affiches adhésion que vous pourrez trouver très rapidement dans les cinq coins de la Bretagne. Un message simple : rejoignez-nous ! L’Union démocratique bretonne a besoin d’adhérents et d’adhérentes pour progresser, pour continuer à faire connaître son projet politique, pour obtenir plus d’élu·e·s, pour faire de la société bretonne, une société qui s’autodétermine, qui participe pleinement à la transition écologique, qui permette de réduire les inégalités et à chacun de vivre dignement. Nos valeurs sont résumées par ces quelques mots sur les affiches : fédéralisme, écologie, solidarités.

Ces derniers mois nos idées progressent : logement, autonomie, langue bretonne, etc. Pour aller plus loin, il nous faut être plus nombreux encore. Pour nous rejoindre, c’est simple, il suffit de cliquer ici.

 

Ces affiches d’adhésion seront visibles en français, en breton et en gallo.

Mobilités du quotidien : construisons notre propre politique !

Mobilités du quotidien : plutôt qu’un RER à la mode de Paris, la Bretagne a besoin de pouvoirs et de moyens financiers pour construire sa propre politique.

 

La politique de métropolisation est celle qui prévaut en France depuis les années 90. Cette politique d’aménagement du territoire a pourtant montré ses limites. Les métropoles sont engorgées, les terres agricoles sont grignotées, la qualité de l’air diminue, les prix de l’immobilier flambent. Les habitants des villes moyennes et des zones rurales se voient contraints d’utiliser la voiture faute de transport, les services publics se raréfient, des pans entiers de la population se sentent abandonnés. Le ruissellement n’a pas eu lieu et la fracture territoriale est bien là.

 

 

Et pourtant, le Président de la République enfonce le clou et propose de financer le RER pour 10 métropoles en France. Mais la Bretagne n’est pas l’Île-de-France et ne doit pas copier son anti-modèle. L’UDB refuse cette manière de penser le territoire, nous ne voulons pas recréer au niveau de la Bretagne le modèle français bien trop parisiano-centré.

 

Les actions des militants de l’UDB en faveur des mobilités du quotidien ont toujours été tourné vers une répartition juste et équilibrée des infrastructures et des services correspondants sur l’ensemble de la Bretagne.

 

Depuis 2015, l’UDB a organisé de nombreuses marches pour la réouverture de lignes ferroviaires régionales. Lors de la dernière campagne pour les élections régionales, nous avons montré que la Région Bretagne devait concentrer ses efforts sur les transports du quotidien. Ces actions ont permis le sauvetage de la voie unique entre Landerneau et Quimper, la perspective de mise à l’étude d’une réouverture de la ligne St-Brieuc-Auray et de la ligne Roscoff-Morlaix dans le volet Mobilités du Contrat de plan État-région, l’ouverture d’une réflexion sur la reconstruction d’un réseau entre Fougères et Rennes.

 

Nous croyons que pour organiser au mieux le territoire, que pour améliorer l’équilibre entre les villes et les zones rurales, que pour garantir l’égalité entre tous les citoyens, la Bretagne doit accéder à l’autonomie dans ses décisions. Pour ce faire, l’UDB réclame un renforcement des pouvoirs de la Région en tant qu’autorité organisatrice des mobilités et un pouvoir fiscal et financier pour décider elle-même des investissements les plus pertinents pour la Bretagne.

 

En Bretagne, notre maillage de villes moyennes fait partie de notre ADN, il fait notre richesse et concourt à notre qualité de vie.

 

Lydie Massard, porte-parole de l’Union démocratique bretonne

Jeux Olympiques 2024 vs festivals ?

Il y a quelques semaines, la presse nous informait du fait que les festivals d’été pourraient être annulés ou reportés en raison de la tenue des Jeux Olympiques à Paris en 2024. La justification ? L’impossibilité d’assurer la sécurité partout.

 

Pour l’UDB, ce fait accompli n’était pas prévu dans le contrat lorsque Paris a postulé. La simple idée d’envisager l’annulation ou même le report de festivals sur l’ensemble du territoire du fait d’un événement à Paris – aussi important soit-il – confirme que l’État est au service de sa capitale. La centralisation est telle qu’il faudrait que l’ensemble des citoyens français acceptent sans broncher la monopolisation d’un service public au profit d’une manifestation sportive ? Et que restera-t-il pour celles et ceux qui ne se rendront pas à Paris et seront privés de concert ? Quelles animations leur seront proposées à part des programmes olympiques à la télévision ?

L’UDB ne souhaite pas opposer Sport et Culture. Ceci dit, force est de constater que, dans ces conditions, le « rayonnement international » de la France prévu par les Jeux Olympiques ne passera pas par ses régions. Encore moins le ruissellement ! Une fois encore, Paris aura concentré les investissements liés à l’accueil des Jeux et bénéficié des retombées économiques au détriment d’autres territoires qui, eux, se seront vus privés des concerts qui égayent leur été.

 

La France ne peut s’arrêter de tourner sous prétexte que les Jeux Olympiques se tiennent à Paris. Les festivals, petits ou grands, font partie intégrante de l’identité de la Bretagne. Ils mobilisent des milliers de bénévoles et font vibrer des centaines de milliers de festivaliers et festivalières, permettent à des centaines d’artistes de se produire. Ils sont également devenus une activité économique à part entière. Les annuler risque de les mettre en difficulté, voire de les faire disparaître car certains coûts sont incompressibles. Ceux-ci ne nécessitent pourtant pas de cohortes de policiers du fait du caractère familial de ces manifestations. Pourquoi ne pourraient-ils donc pas se tenir malgré les Jeux Olympiques ?

 

Si l’on en croit le président intérimaire du festival interceltique de Lorient, il faut agir avant le 15 décembre de cette année. C’est pourquoi l’UDB invite les Bretonnes et les Bretons ainsi que toutes celles et ceux qui souhaitent danser cet été à interpeller le gouvernement.

 

Dès à présent, nous lançons une campagne sur les réseaux sociaux pour interpeller les décideurs (président de la République, ministres, etc) avec les hashtags suivants : #JOetFestivals #SportetCulture

L’UDB soutient la révolution iranienne

Depuis le 16 septembre dernier et la mort de Mahsa Amini, les Iraniennes et les Iraniens se révoltent. Au-delà de la question du voile qui a déclenchée ce mouvement, c’est une remise en cause totale de la structure politico-économique de l’État des Mollahs iraniens qui est réclamée.

 

« Femme, vie, liberté ! » Voici le slogan répété à l’envi par les manifestants. L’Union démocratique bretonne soutient les Iraniennes et les Iraniens qui souhaitent vivre dans un pays libre où l’autoritarisme religieux ne dirigera plus leurs vies et où les femmes ne seront plus invisibilisées. L’ampleur de la colère s’est répandue comme une traînée de poudre de Téhéran au reste du pays. L’absence de solutions concrètes face à la crise économique que vit l’Iran a également jeté des millions d’Iraniens dans la pauvreté et est une des causes de la révolte.

L’UDB demande à la communauté internationale de prendre des sanctions plus importantes pour mettre un terme à la répression de plus en plus féroce.

 

Pierre-Emmanuel Marais, porte-parole de l’Union démocratique bretonne