Elu député européen le 26 mai dernier, je remercie les 18.944 électeurs qui ont apporté leurs suffrages à la liste écologiste conduite par Yannick Jadot où je figurais en neuvième position. Avec plus de 22% des voix, la Corse obtient le score le plus élevé réalisé par cette liste dans l’ensemble des régions françaises. Les Corses se sont reconnus largement dans la candidature que j’ai portée, au nom de Femu a Corsica, sur la liste Europe Ecologie, dans le débat européen. Dans le contexte d’un dialogue difficile avec le gouvernement, mon élection contribue à conforter notre démarche.
Je tiens tout particulièrement à remercier le Président du Conseil Exécutif, Gilles Simeoni, pour son engagement personnel dans la campagne, ici en Corse, et aussi auprès du mouvement écologiste et auprès de l’ensemble des composantes de Régions et Peuples Solidaires. Il a beaucoup contribué au succès obtenu.
Avec plus de 3 millions de voix en sa faveur (13.47% des suffrages), la liste conduite par Yannick Jadot, en finissant troisième derrière le Rassemblement National et En Marche incarne l’espoir et le renouveau. Ce succès est une victoire politique et idéologique des écologistes.
Cette victoire est aussi celle des régionalistes. Parmi les treize candidats élus dimanche 26 mai, figure François Alfonsi qui n’était autre que le chef de file de Régions et Peuples Solidaires (R&PS) à ces élections européennes.
Lydie Massard, de l’Union Démocratique Bretonne (UDB), qui se trouvait en 14e position sur la liste, manque d’être élue pour quelques voix. Elle pourrait toutefois rejoindre le parlement européen en cours de mandat.
Réunis à travers R&PS, les régionalistes, alliés à EELV, ont contribué, indubitablement, malgré le mode de scrutin défavorable par nature aux régionalistes (circonscription unique à l’échelle de toute la France), au succès de la liste. Partout sur les territoires où R&PS est présent, la liste Europe Ecologie obtient de très bons scores, souvent supérieurs à la moyenne hexagonale :
Le Mouvement Région Savoie est heureux de la réélection de François Alfonsi en tant que député européen !
C'est une victoire pour notre fédération Régions et Peuples Solidaires, mais aussi pour le Mouvement Région Savoie qui a mené sa campagne sur notre territoire.
Les élections européennes de 2019 sont marquées par un vote pour les listes d’extrême-droite et populistes qui reste très élevé et une inscription du macronisme dans le temps (mais pour autant les soutiens à la politique gouvernementale représentent moins d’un électeur sur quatre).
Ces élections marquent surtout la prise de conscience écologiste et la montée des revendications fédéralistes et régionalistes au niveau européen. Pour l’Union Démocratique Bretonne ; c’est une vraie satisfaction.
Les résultats en Bretagne témoignent d’une progression de l’idée d’autonomie régionale de Nantes à Brest. Sur 1 789 417 votes exprimés dans les cinq départements bretons, la liste écologiste et régionaliste de Yannick Jadot réalise un score de 16,92 % soit 3.5 points de plus que la moyenne hexagonale. Dans plusieurs dizaines de communes, elle arrive même en tête. Ce résultat appelle une poursuite et un renforcement des démarches convergentes entre l’écologie politique et la revendication d’autonomie en Bretagne.
La Corse offre aux Verts leur meilleur score régional (21,97%)
En Corse, où le Rassemblement national (RN) est traditionnellement faible aux élections locales et fort aux élections nationales, le parti de Marine Le Pen arrive en tête, avec 27,74% des voix. L’ex-Front national gagne quelque 5000 voix par rapport à 2014. Mais la plus forte progression vient des Verts, alliés aux régionalistes cette année, et soutenus par les autonomistes corses au pouvoir dans l’île depuis 2015. Arrivée deuxième, la liste de Yannick Jadot obtient 21,97% soit près de 19.000 voix, contre 4,38% en 2014. Il s’agit de son meilleur score régional. Cette progression est toutefois en trompe-l’œil. Lors du précédent scrutin, il y a cinq ans, EELV et le parti régionaliste «Régions et peuples solidaires» (R&PS) avaient fait campagne en ordre dispersé. Les écologistes avaient alors obtenu 4,38% des voix (3500 voix), contre 21,51% pour les régionalistes (environ 17.000 voix). Ils avaient donc 1500 voix de plus en étant séparés.
Élu au parlement européen en 2009, le maire d’Osani avait perdu son siège lors des élections de 2014. En renouant avec EELV, et malgré l’absence de soutien d’une grande partie des nationalistes, François Alfonsi fait son retour dans l’hémicycle strasbourgeois.
Sur la liste menée par Yannick Jadot, qui a réalisé plus de 23% hier soir, François Alfonsi pointait en neuvième position. Une position plus qu'honorable, qui lui a permis d'être élu. Une position qui était due à son statut de chef de file de la fédération Régions & Peuples Solidaires.
Le R&PS, c'est une fédération qui réunit des partis politiques régionalistes ou autonomistes de France.
Unser Land se réjouit de l'élection de François Alfonsi, candidat en 9ème position sur la liste de Yannick Jadot (EELV).
François Alfonsi était le candidat de la fédération Régions et Peuples solidaires, fédération dont Unser Land est membre fondateur.
Avec François Alfonsi, le peuple alsacien disposera à Strasbourg et à Bruxelles d'un défenseur dévoué et compétent. Notre mouvement se réjouit de pouvoir compter sur notre ami corse pour faire avancer la cause alsacienne à l'échelle européenne.
Jean-Georges Trouillet,
Président
+33 6 67 28 85 69
En Corse, les écolos deuxième grâce à leur alliance avec les régionalistes
Avec 23 % en Haute-Corse et 21 % en Corse-du-Sud. Yannick Jadot obtient d'excellents scores sur l'île de Beauté. Le fruit de son alliance avec les régionalistes, au pouvoir en Corse avec l'autonomiste Gilles Simeoni. C'est d'ailleurs un autre Corse, François Alfonsi, qui figurait en neuvième position sur la liste d'Europe Écologie-Les Verts au nom du mouvement Régions et Peuples solidaires.
Une alliance historique et cohérente dans la mesure où les écologistes ont toujours été favorables à une "Europe des régions" et portent un discours fédéraliste qui contraste avec le jacobinisme de la plupart des grands mouvements politiques français. Ces bons scores n'empêchent toutefois pas le Rassemblement national de triompher. Jordan Bardella obtient en effet 26 % des voix en Haute-Corse et près de 30 % en Corse-du-Sud.
L’élection européenne du 26 mai était la première depuis la présidentielle et les législatives de 2017. Le taux de participation, supérieur de 10 points par rapport à 2014, confirme la volonté des citoyens, exprimée ces derniers mois par les Gilets Jaunes et leur revendication pour le RIC, de se réapproprier le débat politique. C’est une victoire de la démocratie et nous nous en réjouissons.
Cette élection a également été marquée par la crise climatique et les rapports alarmants sur la biodiversité. La jeunesse, mobilisée depuis des semaines dans les marches pour le climat, semble avoir été un acteur décisif dans le résultat final de ces élections. C’est la deuxième bonne nouvelle de cette élection.
La troisième bonne nouvelle, c’est le score réalisé par les écologistes et les régionalistes de la liste Europe Ecologie conduite par Yannick Jadot qui, avec plus de 13%, finit 3e et s’affirme désormais comme l’alternative aux blocs des libéraux et de l’extrême-droite.
La Corse aura, à nouveau, un député à Bruxelles. Il s'agit de François Alfonsi, neuvième sur la liste conduite par Yannick Jadot, la liste Europe Ecologie Les Verts, créditée au niveau national de 12,8 % des suffrages exprimés.
La liste d'Europe Ecologie, sur laquelle figure François Alfonsi, arrive en troisième position, juste derrière celle du Rassemblement National et celle de La République En Marche. François Alfonsi était le seul co-lisitier corse en "position d'éligibilité". Il siégera donc pour cinq ans au Parlement européen.
A l'occasion du meeting de clôture de campagne de François Alfonsi, candidat de Femu a Corsica aux élections européennes 2019, plus de 120 personnes étaient réunis ce mercredi 22 mai, à la salle polyvalente de Lupinu. Dernier virage avant les élections qui auront lieu les 25 et 26 mai prochains, celui qui représente la liste écologique conduite par Yannick Jadot -Europe Ecologie Les Verts : Régions et Peuples Solidaires- est revenu sur l'importance pour la Corse d'avoir son mot à dire dans les hautes-sphères européennes.
TRIBUNE - Le patron d'EELV David Cormand et deux autres colistiers écologistes appellent à "reconnaître êtres humains et animaux". Ils souhaitent que l'Europe "pense le changement depuis les territoires".
La tribune du patron d'Europe Ecologie - Les Verts, David Cormand, de Lydie Massard et de François Alfonsi, tous candidats aux élections européennes sur la liste emmenée par Yannick Jadot : "Les écologistes comme les autonomistes aiment rappeler que pour être efficace, il est nécessaire de 'penser local et agir global'. Ce slogan a tellement été utilisé par les uns et les autres qu'au fil du temps, il s'est affadi. Il reste pourtant une boussole pour quiconque a l'ambition de réconcilier l'être humain avec son milieu.
L'autonomiste Gilles Simeoni, président du Conseil exécutif de Corse, était présent mardi soir au dernier meeting de la liste écologiste de Yannick Jadot. Des militants régionalistes sont également présents sur cette liste. Des soutiens qui s'inscrivent dans une logique d'alliance déjà ancienne.
"Les Corses ont fait de l'écologie comme Monsieur Jourdain faisait de la prose : sans le savoir." Le dernier meeting de campagne d'EELV, mardi soir, comptait parmi ses invités d'honneur l'élu nationaliste Gilles Simeoni. A la tribune, le président du Conseil exécutif de Corse est venu apporter un ultime soutien à la liste conduite par Yannick Jadot, qui compte parmi ses membres six personnalités régionalistes, dont François Alfonsi - à la 9e place, position éligible -, ex-député européen déjà élu en 2009 avec les écologistes, et membre de Femu a Corsica, parti autonomiste corse.
Les idées de fédéralisme, d’autonomie des régions, de subsidiarité et de respect des minorités linguistiques, en somme de défense de la diversité culturelle de nos régions, seront représentées, lors de l’élection européenne du 26 mai prochain, par les candidats de Régions et Peuples Solidaires (R&PS), fédération dont Unser Land est l’un des membres les plus importants. Parmi ces candidats, François Alfonsi, membre du parti Femu a Corsica, est éligible.
François Alfonsi figure en 9e position sur la liste EELV conduite par Yannick Jadot. Unser Land appelle donc à voter pour cette liste, pour la défense de notre Heimet et des autres minorités nationales de France au parlement européen.
Jean-Georges Trouillet,
Président d'Unser Land
L'eurodeputé d'Esquerra Republicana de Catalunya et Secretarie Géneral de l'Aliance Libre Européenne, Jordi Solé, a declaré: "En tant que candidat d'Esquerra Republicana pour les élections européennes sur la liste conduite par Oriol Junqueras, qui est aussi le Spitzenkandidat de l'ALE pour toute l'Europe, j'apporte mon soutien à François Alfonsi, candidat corse éligible sur la liste EELV/RPS/ALE conduite par Yannick Jadot".
Un point presse, tenu sur le site de Vorgium afin d’illustrer ce à quoi peuvent contribuer les subventions européennes, a donné l’occasion aux maires de Carhaix et Langonnet de contribuer à la campagne d’EELV pour les élections de dimanche prochain, en présence de trois membres de cette liste. Le secrétaire régional d’EELV et des militants UDB étaient venus en renfort.
En préambule à la réunion publique organisée samedi à 18 h à la mairie de Carhaix, un point presse réunissait deux membres de la liste de Yannick Jadot pour les élections européennes, la Pontivyenne Lydie Massard (14e position) et l’ex-député européen, maire corse d’Osani, François Alfonsi (9e position), les maires de Carhaix et Langonnet, Christian Troadec et Christian Derrien, le député de la 4e circonscription du Morbihan, Paul Molac, le secrétaire régional d’EELV, Yves Nédellec et quelques membres de l’UDB. Ils ont été rapidement rejoints par un autre colistier, William Lajeanne (17e position). L’occasion pour ces personnalités de (re) préciser leurs positions dans le cadre de cette courte campagne qui arrive à sa dernière semaine.
François Alfonsi (Femu a Corsica) en neuvième position sur liste Europe Ecologie Les verts est le seul corse susceptible de siéger au prochain Parlement européen. A huit jours de la consultation François Alfonsi, qui sollicitera pour la circonstance un second mandat, s'exprime sur CNI. Pour lui une seule question se pose aux électeurs nationalistes : la majorité à l’Assemblée de Corse, qui compte aussi trois députés, sortira-t-elle oui ou non renforcée si un député européen nationaliste est élu dimanche prochain ? Pour lui la réponse ne fait aucun doute...
9e sur la liste EELV menée par Yannick Jadot, François Alfonsi est passé par Narbonne pour sa campagne.
À quelques jours du vote, Jean-Pierre Laval du collectif Pais Nostre recevait le candidat du parti Régions et peuples solidaires François Alfonsi, placé en 9e position sur la liste Europe Écologie Les Verts menée par Yannick Jadot.
« C’est la 3e fois que nos partis s’associent pour une élection européenne, explique celui qui est aussi maire d’Osani, en Corse. Au sens politique, nous empruntons des chemins différents, mais qui convergent notamment sur les grandes causes écologistes, qui dépassent les États ». La liste espère obtenir de bons résultats en France, mais aussi et surtout en Allemagne, en Belgique et aux Pays-Bas, où la cause écologiste a pris un peu plus d’ampleur ces dernières années. « Les partis autonomistes progressent partout en Europe, et cette campagne est l’occasion d’ouvrir un espace politique à ceux qui veulent défendre leur identité et promouvoir la diversité ».
6 & 7 mai : Alsace et Lorraine
Strasbourg
En Alsace, il faut plus qu’ailleurs réconcilier le mouvement autonomiste avec les écologistes. L’ancienne direction alsacienne des Verts a presque disparu du paysage politique, mais ses positions très « française de l’intérieur » -comme on désigne « i pinzuti » là-bas- à l’égard d’Unser Land a laissé des traces.
Entre-temps, Unser Land a su se faire une place en Alsace. Ceux qui peinaient parfois à dépasser 1% ont été le fer de lance de la contestation alsacienne contre la région Grand Est, vécue comme une volonté explicite d’effacer l’Alsace de la carte des régions européennes.
En Euskadi, le 18 avril
Bayonne accueille ce jour-là sa fête du jambon. La ville est bondée et le lieu de la conférence de presse est difficile à rejoindre. Journalistes et militants arrivent progressivement, ainsi qu’une délégation occitane venue du Béarn voisin. J’y rejoins ma colistière EELV Sophie Bussière, avocate engagée dans le processus de paix du Pays Basque, en lien avec le désarmement d’ETA. En Euskadi les abertzale soutiennent et animent tous les combats écologiques, et Sophie symbolise parfaitement, par son engagement professionnel et militant, la bonne coopération qui règne entre EELV et le mouvement basque.
L'alliance historique entre autonomistes et écologistes ambitionne de porter la voix de l'Europe des régions à Strasbourg et compte « internationaliser la question corse ».
De notre correspondant en Corse, Julian Mattei
Comme un poisson dans l'eau. À peine débarqué de son avion, vendredi 3 mai sur le tarmac de l'aéroport de Bastia-Poretta (Haute-Corse), Yannick Jadot est déjà entouré de ses soutiens. Gilles Simeoni, le président nationaliste du conseil exécutif de Corse, est là. Les principaux leaders du parti autonomiste Femu a Corsica (« Faisons la Corse ») l'accueillent à bras ouverts. Il faut dire que le candidat d'EELV aux élections européennes n'est pas en terrain inconnu dans l'île. Sur la liste qu'il conduit figure en position éligible le nationaliste François Alfonsi. Ce sexagénaire rompu au combat politique a pu se hisser à la 9e place via un accord des autonomistes avec la fédération Régions et peuples solidaires (R&PS), qui regroupe les partis régionalistes de France.
La tête de liste d’EELV aux élections européennes, Yannick Jadot, était samedi à Bastia pour soutenir François Alfonsi (Femu a Corsica) qui se trouve en neuvième position sur liste Europe Ecologie Les verts. Sur le marché de Bastia, à l'hôtel de ville, lors d'une conférence de presse dans les jardins suspendus du Palais des Gouverneurs ou bien encore à a fiera di u casgiu di Venacu, Yannick Jadot, qui a appelé à la mobilsation pour le 26 Mai , a répété à l'envi la même phrase : "vous allez voir que François Alfonsi sera le député corse de ce parlement européen ".
Hier, lors d’une journée marathon, le député européen et le candidat insulaire EELV ont visité plusieurs exploitations agricoles dans la région ajaccienne. La tournée s’est achevée sur l’exploitation de Pierre Alessandri.
La journée auprès des agriculteurs locaux s’est déroulée dans une ambiance festive, sous un soleil de plomb. Vers 15 heures, alors que le convoi prend la route du Mandriolu, où se trouve l’exploitation de Pierre Alessandri, l’atmosphère devient plus pesante. Au diapason, le ciel se charge au même moment de lourds nuages.
Une journée au pas de course pour François Alfonsi, candidat à l’élection européenne sur la liste EEV. Le très médiatique député européen José Bové était venu apporter son soutien au maire d’Osani. Au programme de ce 1er Mai : plusieurs rencontres avec des agriculteurs de la région ajaccienne. L’occasion de revenir sur les thèmes de prédilections du candidat nationaliste avec notamment les ESA et l’agriculture biologique. Mais l’actualité a voulu que les fraudes aux aides agricoles et la nouvelle PAC s’invitent au débat.
Devant les décombres de sa distillerie entièrement ravagée par l’incendie déclenché dans la nuit de vendredi à samedi, Pierre Alessandri ne peut cacher son émotion. L’enquête en cours privilégie, selon le procureur, une réaction criminelle liée aux positions syndicales de l’exploitant.
Le député européen José Bové (Verts/ALE), qui ne se représente pas pour les européennes, a fustigé mercredi, en visite en Corse, « les pratiques mafieuses et des personnes qui utilisent l'outil de la Pac pour servir des intérêts particuliers ».
José Bové était présent en Corse pour « soutenir » François Alfonsi candidat insulaire en quatorzième position sur la liste Europe écologie les verts (EELV) conduite par Yannick Jadot. Il y a surtout été question d'agriculture, dans un contexte insulaire assez tendu. « Il existe des pratiques mafieuses et des personnes qui utilisent l'outil de la politique agricole commune(Pac) pour servir des intérêts particuliers », a lancé José Bové face à Pierre Alessandri, leader du syndicat Via Compagnola pour la Corse-du-Sud, adhérent de la confédération paysanne, qui a vu son exploitation détruite dans un incendie criminel, vendredi soir à Sarrola-Carcopino, près d'Ajaccio.
José Bové était en visite dans la périphérie d'Ajaccio, ce mercredi 1er mai, pour soutenir François Alfonsi, candidat en 9eme place sur la liste Europe Écologie Les Verts. Défense du Padduc, agriculture biologique, ont été abordées tout au long de la journée.
La commune de Cuttoli, en surplomb de la baie d'Ajaccio, comme illustration du conflit entre les terres agricoles et l'urbanisation.
Depuis l'exploitation de Jean-Michel Casalta, éleveur bovin et caprin, José Bové est venu défendre les espaces stratégiques agricoles (Esa) du Padduc (plan d’aménagement et de développement durable de la Corse).
Ils sont menacés d'annulation devant la justice administrative. « J’ouvre le journal et je vois que le Padduc est remis en cause. Ça va poser un vrai problème, on risque d’entrer dans une période de quelques mois, je n’espère pas plus, où n’importe quoi va pouvoir continuer à se faire. Ce qu’il faut, c’est clairement qu’il y ait des règles et que ces règles préservent l’espace agricole qui soit inviolable. Il faut arrêter le mitage du territoire », dénonce José Bové. Il arrive en soutien à la campagne de François Alfonsi, candidat au Parlement européen.
Orange (Occitanie - Provence), le 28/03/19
La première étape de ma campagne a été à Orange, avec Anne Marie Hautant, vigie anti-fasciste de cette ville où l’extrême-droite a pris le pouvoir il y a très longtemps, et ne l’a plus quitté depuis. Le Maire Jacques Bompard est un avatar local de Jean Marie Le Pen : même discours raciste, même népotisme structurel, la femme mairesse de la commune voisine de Bollène, le fils conseiller général du département, etc… Et il en a adopté les pratiques d’intimidation et de violence.
Conseillère municipale d’opposition Anne Marie fait front. Elle affronte les intimidations, se cramponne à son siège d’élue quand les sbires municipaux veulent l’expulser manu militari de la salle du Conseil municipal, et elle continue de dénoncer sans relâche la politique débile de cette extrême-droite qui appauvrit la ville, mène une politique ultra-sécuritaire, sacrifiant tous les autres domaines, particulièrement l’action culturelle et l’action sociale, ce qui a fait au fil des ans d’Orange une ville économiquement sinistrée, mais avec un « bas de laine » bien rempli de moyens financiers que l’on refuse d’investir sauf pour alimenter un clientélisme effréné.
EAJ-PNB soutient la liste de coalition EELV qui se présente avec le groupe R&PS, dont nous faisons partie avec EA et AB.
Dans la coalition, 6 places sont réservées à R&PS dont la tête de liste, le Corse François Alfonsi arrivera en 9e position. L’Assemblée Générale de R&PS qui s’est tenue à Bayonne avait décidé de nommer un Corse à la tête des candidats R&PS.
Le Statut territorial de l’euskara et la lutte contre le dérèglement climatique
Habitante de Pontivy (Morbihan), Lydie Massard est candidate aux élections européennes. Elle figure en 14e position sur la liste de Yannick Jadot (EELV). Responsable de la fédération du Morbihan de l’Union démocratique bretonne (UDB) depuis deux ans, Lydie Massard est candidate aux Européennes. Cette Pontivyenne figure en 14e place sur la liste nationale Europe Écologie Les Verts. Elle est aussi la première Bretonne de cette liste.
Allié à Europe Ecologie – Les Verts (EELV) sur la liste conduite par Yannick Jadot, Régions et Peuples Solidaires (R&PS), la fédération des mouvements régionalistes et autonomistes, mène campagne en Auvergne pour l’élection européenne.
Au cours d’une conférence de presse organisée au Puy-en-Velay, jeudi 11 avril, les responsables de R&PS ont rappelé les raisons de leur partenariat : « Les régionalistes et les écologistes sont des compagnons de route de longue date. Depuis l’élection européenne de 1989, ils forment un groupe commun au parlement européen aujourd’hui appelé Verts / ALE », a rappelé Gustave Alirol, président de R&PS.
MICHEL CASTELLANI, PAUL-ANDRE COLOMBANI, PAUL MOLAC ET PEIO DUFAU SONT MEMBRES DU GROUPE
"LIBERTÉS ET TERRITOIRES"
PAULU SANTU PARIGI EST MEMBRE DU GROUPE
"Union Centriste"